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Les Ligures et les Celtes

La culture première de l'hexagone
 et de l'Europe viendrait-elle
de civilisations oubliées ou méconnues?


Les ligures ont possiblement constitué une des premières traces de culture sur tout l'ouest du continent européen. Les Ligures seraient-ils les parents premiers d'une Europe sans frontières? Si les Phocéens les massacrèrent, en fut-il de même avec les Celtes conquérants?

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Pour mémoire, les Ligures  étaient selon Caton : «rudes, dont la pensée et le rêve se bornaient chez eux à l'espérance et à la joie du pain quotidien». «Ils animaient par des Esprits ou des Génies les formes de la nature qui les entourait, sources et lacs, fleuves et montagnes, et la carte physique des pays Ligures était à l'image de leur panthéon».

Les Liguriens sont cités par Plutarque et Tite Live dans son histoire romaine, beaucoup de témoignages épars et peu fiables, et sur le plan scientifique une homogénéité très discutée sur la notion de peuple, ou de tribu ou peuplade. Des hypothèses, des recherches, ce chaînon de civilisation a encore de quoi nous surprendre, l'avenir le dira.

L'âge des métaux, classé primitivement dans la préhistoire est considéré comme protohistorique (Proto signifiant ce qui est premier ou primitif), et dont la connaissance vient aussi des témoignages extérieurs, faute de textes indigènes ou spécifiques aux cultures celtiques et aussi gauloises jusqu'à leur assimilation par les Romains. La protohistoire est une période longue et intermédiaire entre le Mésolithique et l'Histoire, ou un peu avant la naissance de l'écriture et concernant le néolithique et l'âge des métaux, tout dépendant des lieux de recherches ou des fouilles archéologiques, les plus anciennes se trouvent sur le continent asiatique. Donc à ce titre le terme contestable de Gallo-Romain ne concerne que 4 siècles : de moins 200 jusqu'au IIe siècle ap. JC. et correspondant à une période d'acculturation (« adoption et assimilation d'une culture étrangère »).

Les Ligures sont un ensemble de populations protohistoriques se confondant à une certaine période avec les Ibères et Aquitains. L'on a conservé d'eux des noms géographiques (toponymes). Leur apparition  en Europe se situa possiblement il y a environ 4.500 ans, mais sans certitude, ou en l'état par absence d'éléments probants.


-1800 : L'empire des Ligures est composé des habitants primitifs de l'Europe occidentale, ou d'une tribu indo-européenne venant des plaines d'Asie Centrale. Les ligures ne seraient pas rester en Russie avec les autres tribus vers 4000 av. JC, qui elles peupleront plus tardivement l'Europe sous le nom des Celtes ou des Galates.

-1200 à -1000 : Fin de l'empire des Ligures, ils sont chassés d'Italie vers -1200 par les Italiotes (Indo-Européens) ; de Corse vers - 1100 par les Korsi, groupe étrusque (dit Thraco-Illyriens faisant partie des "Peuples de la mer") ; et vers -1000 d'Allemagne par les Celtes.

-800 à -600 : Les Ligures sont chassés par les Celtes, et puis massacrés par les Phocéens de Marseille et de la Provence.

 

Les Ligures une origine énigmatique

Oppidum Ligure ou celto-ligure,  à trois enceintes (Alpes maritimes)

 
Photographie de l'oppidum du pas de la Faye qui domine la route Napoléon,
à Saint vallier de Thiey, à quelques kilomètres de Grasse.


Photo prise et transmise cordialement par
Mr André Lafont,
cliquez sur le lien pour découvrir sa rubrique "vieilles pierres" !
"Les Ligures sont un peuple de l'antiquité que les Grecs et les Romains trouvèrent établis sur les côtes de la mer Méditerranée, dans le Sud-Est de la Gaule et le Nord-Ouest de l'Italie. Cette contrée était appelée Ligurie, Liguria, depuis les temps les plus anciens. Les principaux établissements en étaient Genua (Gênes), Asta (Asti), Dertona (Tortone), AIbium Ingannum (Albinga) et Albium Intemelium (Vintimille). Les Ligures étaient divisés en un grand nombre de tribus, lorsqu'ils furent soumis par les Romains, entre l'an 200 et l'an 163 av. J.-C.

Origine des Ligures

Les maigres informations linguistiques dont on dispose font penser à deux composantes, l'une aurait une origine antérieure à l'arrivée des populations de langues indo-européennes, l'autre (celle dans laquelle on voyait  des congénères des Ambrons) correspondrait à des populations qui auraient formé un rameau des Celtes (ou des Proto-Celtes). A une époque antérieuse aux temps historiques, il se serait séparé d'une souche plus ancienne, peut-être de la même, que celle dont descendaient les Celtes et qu'avant ceux-ci ils ont paru dans l'Europe occidentale, supposait déjà Arbois de Jubainville.

Toujours est-il que de nombreuses spéculations à ce sujet ont été faites. Il est intéressant de les examiner, tout en sachant que leur conclusions doivent être considérées avec prudence".
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LE CHAINON MANQUANT : 

Les Ligures ?

Du troisième millénaire à environ l'an 900 avant J-C, voilà les Ligures. En grec, ce mot signifierait mélodieux. Les Ligures ont-ils une parenté avec les peuplades d'origines, nous l'ignorons partiellement. Ils auraient dominé toute l'Europe occidentale environ 1000 ans, ils furent d'abord polisseurs de pierres.

Puis, ils ont su fondre le cuivre et le bronze et faire de l'étain. Seraient-ils les homo-sapiens survivants de la période de glaciation de Wurms en Europe? Et ceux qui passèrent du groupe primitif, à une structuration plus élaborée, c'est à dire pré-urbaine (ou villageoise) et marchande? Beaucoup de pistes et peu de réponses, il est aussi question de Celto-Ligure un peu partout dans l'hexagone.

Ci-contre : la Tour de Magne,
à Saint vallier de Thiey dans les Alpes maritimes


 



Un peuple mal connu, les LIGURES

Ce peuple "avait jadis occupé tout le littoral alpin, aussi bien en Italie qu'en Gaule. Ils élevaient des troupeaux qu'ils conduisaient en été dans les hauts pâturages et qu'ils ramenaient en hiver dans les plaines. Ils savaient aussi construire des navires. Ils étaient petits, secs, nerveux, résistants, économes et sobres, mais avides. Ils avaient opposé aux Gaulois comme aux Romains une longue résistance. Le monument trouvé à Entremont (près d'Aix-en Provence) avec ses trophées hideux de têtes coupées, rappelle sans doute quelque victoire décisive des Celtes sur les Ligures". (…)

"Les ROMAINS avaient pénétré dans la Gaule Transalpine, dès 154 avant J.-C., pour repousser du littoral les tribus de Ligures qui inquiétaient Nice. En 124, sous la conduite du consul C. Sextius Calvinus, ils avaient fondé, au pied de la colline d'Entremont, ancienne capitale des Salyes ou Salluvii, la forteresse d'Aix (Aquæ Sextiae), ainsi nommée de ses eaux chaudes, et qui, environ un siècle après, reçut une colonie romaine. Puis ils avaient occupé Toulouse (Tolosa) et Toulon ( Telo Martius), colonisé Narbonne (Narbo Marlius), établi en permanence leur flotte militaire à Fréjus (Forum Julii). Inutile de rappeler comment avec Marius ils repoussèrent les Teutons près d'Aix, comment avec César ils conquirent toute la Gaule, comment sous Auguste ils l'organisèrent".

Source :  L'anneau de César (Nouvelle édition augmentée d'une Etude sur la Gaule ancienne à l'époque de Jules César)  par Alfred Rambeau  - édieur, J. Hetzel à Paris -
1900 - page 460 à 462

UN VERCINGÉTORIX MÉRIDIONAL?

"Les guerriers nus" (Roman)

« …D’un accord unanime, les Ligures prennent pour chef Catamandros, un des petits rois de ce pays, qui assiégeait la ville de Massalia avec une nombreuse armée de soldats d’élites… »
   
C’est à peu près tout ce qu’on peut lire, sous la plume de Justin (XLIII, 4-5) écrivain latin du 2e siècle. Seul écrit qui ait conservé le souvenir d’une « guerre de libération nationale » ayant opposé les Celtes méridionaux aux colons grecs. Confronté à la pénurie de textes, l’historien peine à reconstituer l’organisation des sociétés antiques que l’archéologie sort de l’ombre ; le conteur, le romancier, dispose de moyens mieux adaptés.

En romancier archéologue, l’auteur, Jean-Marie Lamblard, nous entraîne dans la houle d’un soulèvement, en décrit la genèse, en suit la cristallisation autour d’un chef fascinant – Catamandros-, et ceci jusqu’à  la violence tragique d’un dénouement de légende. (Thierry Auzas).

Livre disponible aux éditions Imago (2005)
Lire l'avant propos de l'auteur : Cliquez ici pour lire le fichier pdf




 Qui sont les Ligures ?

 
Les Ligures eurent pour culte :
les sources, les sommets, les rochers.


En prenant la terre aux Ligures, les Celtes-gaulois en acceptèrent à la fois les moissons, les noms et les dieux ; et ni les latins, ni les dits barbares, ni le chrétiens n'ont pu extirper les génies des montagnes et des fontaines, les esprits protecteurs des lieux auxquels s'attachèrent nos premiers occupants ou colonisateurs.

 
Pour apport et ingéniosité, ils ont inventé la charpente. Présents de l'Italie en passant par la Corse, jusqu'en Angleterre, ils restent d'eux quelques traces. Les Ligures premiers habitants ou première couche de civilisation, nous touchons là une approche anthropologique. D'où le peu de renseignements qu'ils nous restent d'eux, en font les premiers fondements de culture européenne, à la fois pré-urbaine et marchande (hors bassin méditerranéen).

De plus, ils sont très universels en raison de leurs cultes animistes ou ce que le monde chrétien désignera sous le terme de païens. C'est le chaînon manquant datant des époques où le cuivre, l'étain, et le bronze engagèrent des processus d'échanges et d'expansions.
 
Les Ligures croyaient à la vie future et avaient le culte des morts, les incinéraient ou les inhumaient (selon les sources). Ils s'ensevelissaient dans des grottes naturelles ou factices. Ils bâtissaient les tombeaux avec de gros blocs de pierre, tout en construisant des chambres sépulcrales à la surface du sol, qu'ils recouvraient de terre (tumulus). Ce qui désigne un dolmen, c'est-à-dire une chambre funéraire. Dans sa chambre, le mort était entouré des objets et des ustensiles dont il se servait pendant sa vie. Une pratique funéraire qui fait penser à l'idée ou au souvenir d'ancêtres vénérés comme d'un esprit toujours vivant, si l'on peut établir un lien symbolique ?

Ce peuple mystérieux était guidé par un couple divin : Lug et Lugina. Les Celtes envahirent et assimilèrent les Ligures et intégrèrent leurs dieux. Lug devint le maître des artistes, l'inspirateur des bardes. Merlin selon la légende fut instruit par Lugina.

Son souvenir parvint jusqu'au Moyen Âge où elle prit le nom de Mélugina, qui se transformera en Mélusine. Lug et Lugina eurent un fils unique du nom de Luz. Seul, il vivait dans une caverne en forme d'escargot, d'où provenait un chant merveilleux..." 



Il existe comme forte probabilité, qu'ils s'assimilèrent aux moments des premières grandes incursions ou colonisations celtes, après avoir été vaincus. On retrouve des traits culturels propres aux Ligures dans tout le monde Celtique. Leur expansion sur toute l'Europe est dû à l'essor des premiers échanges commerciaux, notamment du rôle et de la connaissance de la fusion des métaux.

Le bronze demandant un mélange de cuivre et d'étain, les ressources minières se répartissaient entre l'Italie et l'Angleterre. Nous avons pour indication l'existence des premières routes entre le sud de la France et la Grande-Bretagne, il y a environ 1700 ans av. J.C., et que l'on retrouve sous le nom de la route de l'étain
(consulter la première époque).
 

Qui sont les CELTES ?
 
Une culture homogène apparaît sur les steppes d'Asie centrale au VIe millénaire av. J.C. : "le peuple de Kourgan", de langue indo-européenne quitta ses terres en raison des sécheresses. Ce "peuple" aurait atteint l'Europe orientale vers 4000 av. J.C., puis aurait migré vers l'Europe de l'Ouest à partir de 2500 av. J.C. et aurait remplacé les populations autochtones, ou assimilé les non indo-européens? L'unité des langues celtiques seraient apparues aux environs de 2300 avant J.C.

Quelque part entre les Balkans et la mer Noire, les populations celtiques ont eu pour communauté des dialectes indo-européens. La langue Celte vers 300 av. J.C. était parlée en Gaule (France, Suisse, Belgique et un peu plus) et en Bretagne (Angleterre), en Irlande, en Espagne, en Italie du Nord, en Europe centrale et dans les Balkans. Un "choc de civilisation", ou simplement le résultat d'une assimilation forcée des populations d'origines? Les Celtes allaient devenir dans le sud du fleuve Danube maîtres d'un large territoire. Il ne s'agit pas d'hommes et de femmes "primitifs", mais bel et bien d'une civilisation pré-antique, encore mal connue.
 
 
Il est difficile de les comprendre tant les mœurs, les pratiques cultuelles ont évolué dans la nature du rapport à la vie et les modes d'existences. Bien qu'au regard des sentiment religieux, encore de nos jours certaines croyances populaires ont été conservées, quelques pratiques ou dévotions provenant de cette époque. La place qu'allait prendre le fer dans l'arsenal guerrier, allait en faire des hordes redoutables et redoutées. Des guerriers pour qui la vie a peu de place, du moins, nous n'en partageons plus en conscience certaines convictions et pratiques sacrificielles (?).


Ils auraient pénétré en Gaule vers 1200 av. J.C., à la fin de l'Âge du bronze ou débuts de l'Âge de fer. Au début du premier millénaire, un nouvel âge s'organisait sur le territoire géographique de l'hexagone : la révolution du fer. Il faut attendre le Ve siècle avant notre ère pour qu'on puisse affirmer avec certitude que les peuples établis en Gaule Cisalpine constituant le nord de l'Italie (Gallia pour les latins) sont bien des Celtes, et pour la Gaule transalpine ce qui va au-delà des Alpes.

A partir de l'entrée de ces prétendus Indo-européens en Europe de l'Ouest, il est possible de mieux suivre les évolutions successives, si au mieux l'on remonte à huit siècles avant J.C. Pour les périodes antérieures beaucoup est du domaine de l'hypothèse en l'état actuel des recherches. Bien qu'elles aient fourni ces 20 dernières années une vision moins grossière et plus fine de cette civilisation grâce à de nombreuses fouilles. En ce domaine, comme les études protohistoriques sont relativement récentes, une cinquantaine d'années, la patience est plus que de rigueur avant de tirer des conclusions hâtives et demande à suivre des travaux scientifiques s'étalant sur de longues années.
Ce sont déclinées deux périodes, celle du Halstatt en moins 800, puis celle de la Tène en moins 500 av. J-C, qui n'ont que peu de rapport avec les siècles suivants. Pour exemple : les Sénons s'installèrent de la Seine-et-Marne à la Bourgogne, ils venaient du Hallstatt. Ils dominèrent ainsi l'île de France, en particulier les Parisii ("tribu" vassale), qui sont venus possiblement après ou vers -300. Les populations locales une fois dominées, les dits Celtes ont su prouver une capacité à intégrer des aspects culturels très éclectiques, d'abord grecs, puis latins. Un mélange où l'on retrouve à la fois diverses croyances et pratiques culturelles, et qui se rappocha peu à peu des croyances latines et des échanges qui firent des gaulois, des latins comme les autres, vers le IIe siècle de notre ère.

Avec même des empreintes qui vont de l'Égypte, en passant par les Grecs (eux-mêmes attaqués) et ce qui fit de l'Europe un espace relativement homogène dès 1000 av. JC, hors pays scandinaves pour des raisons linguistiques.
Avant que ne parvienne la suprématie romaine vers 300 ans av. JC., et seulement quelques décennies après avoir été menacée par les celtes-gaulois (de 396 à 350 av. JC).

Les romains distinguaient une Gaule Cisalpine : incluant la France et le Benelux
et un bout de l'actuelle Allemagne divisée en 4 Gaules spécifiques, et l'autre Transalpine se situant en Europe centrale dont la Roumanie qui allait rejoindre l'Empire Romain, et devant son appellation à la présence des Latins. Quatre Gaules se dessinèrent : la Narbonnaise, l'Aquitaine, la Celtique (ou la Lyonnaise) et la Belgique. Des divisions territoriales qui évoluèrent au fil des dominations et des crises de l'Empire romain jusqu'au Ve siècle de notre ère.
Les Celtes avaient des dieux et les druides faisaient des offices prenant en compte principalement les éléments naturels : on ne vivait pas dans les forêts, parce qu'on y mourrait rapidement en raison des maladies infectieuses.

Peurs et enseignements religieux traduisaient que certains lieux étaient hors du monde des humains. Le fleuve lui était à franchir avec précaution. En bref, tout donnait lieu à un "ex-voto" (des protections). Ne pas offenser les dieux permettait de se prémunir des maux de la nature.
 

Druide veut dire le "très savant" dans la société Celte, il était un fondement du pouvoir intellectuel, plus que religieux. La loyauté était aussi au sein du groupe un ciment indispensable autour du chef. La mort, elle semblait quasi initiatique, bizarrement, c'était une des choses leur faisant le moins peur, donner sa vie au combat pouvait paraître "naturelle". Tout comme les sacrifices humains qui perdurèrent jusqu'à ce que Rome les interdisent. Là était leur grande étrangeté ou leur croyance?



Qui sont les druides qui prirent le pouvoir? :  cliquez ici
Quels en sont les secrets? Que sait-on des religions celtique et gauloise à travers l’archéologie?
Les Druides, les vrais avec Jean-Louis Brunaux, directeur de recherche au CNRS
Carbone 14 - France Culture - 24/12-2016 - Durée : 30 minutes.


Suite de la promenade :
Les Celtes-Gaulois
 
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