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Débuts
de civilisation
à Paris


Indices ou hypothèses favorisent les progrès complexes de la recherche préhistorique ou protohistorique, de quoi éveiller un intérêt pour un domaine scientifique pas assez traité, et relativement récent, où le fait d'une sécheresse d'à peine une quarantaine d'années.





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Ces dernières années les controverses et recherches archéologiques ont permis certaines avancées. De même la protohistoire est venue bousculer les datations et s'interroger sur des longues périodes se  déroulant sur plusieurs millénaires.

De plus, depuis ces 30 dernières années, des pièces datant des débuts de l'âge néolithique ont été mises à jour,  il a été découvert des pirogues et objets en grand nombre, tout comme des poteries sur les rives du cours de la Seine, marquant les premières bases de vies sédentaires.
Mais il reste encore de quoi faire travailler des générations de chercheurs sans relâche, tant la question est importante de savoir d'où nous venons et où vivons-nous?

A ce sujet, le centre de la France et l'Île de France avant d'être habités durent attendre quelques milliers d'années après la glaciation de Würms.
Période glaciaire qui couvrit tout le nord de l'Europe, il y a moins 20.000 ans et plus. Ce fut le dernier grand âge glaciaire en date, ou bien avec de telles variations et refroidissement des températures. L'homo-sapiens aurait pu disparaître en cette région du monde, et l'a probablement orienté vers un nouveau mode de fonctionnement et d'organisation, c'est-à-dire vivre en collectivité et procéder à une répartition des fonctions au sein d'un groupe, selon le sexe ou les aptitudes.


Pirogues de Bercy : au sud-est de la ville de Paris, d'importants vestiges ont été mis à jour, au bord d'un paléochenal de la Seine.

Il s'agit de près d'une dizaine de pirogues en chêne gorgée d'eau très dégradée, elles ont été découvertes, entières ou fragmentées. La pirogue la plus complète est datée de 3900 ans avant J.C

Archives INA - Journal de France 3 - région Ile de France


A l’origine des pirogues de Bercy, en 1991, 1992, et 1996, plusieurs fouilles archéologiques dîtes préventives furent entreprises. Ces recherches  avaient permis de découvrir des vestiges exceptionnels, ce qui bouleversa l’ancienne hypothèse d’un premier village gaulois ou celtique, celui des Parisii se situait bien sur l’île de la Cité, mais a été édifié en réalité plus tardivement.

L’on avait cru longtemps que les preuves de la première présence humaine sur les rives du fleuve remontaient à environ 2000 ans, cela représenta un bond du temps, d'au moins 4000 ans et de l'évolution des Hommes dans cette partie du monde. Ces découvertes mettaient à jour les vestiges d’une occupation sur le site de Bercy de 5,5 hectares de surface. La Seine et son Paléo-chenal ou canal, dite de la Vieille Seine, permettait de mettre en évidence l'embouchure de son bras courbe  ou disparu, le site révéla aux archéologues plusieurs milliers d’objets retrouvés dans un état
exceptionnel de conservation.

 Il y a environ 6.500 ans des chasseurs et des pêcheurs s'installaient en lieu et place de la zone des anciens entrepôts de Berry en rive gauche ou nord. Où ont été mis à jours les premières embarcations fluviales en 1991.

Il s'agit probablement du premier lieu à Paris d'une vie sédentaire. En cette partie de la Seine et de la capitale, il est envisageable que ce fut dans le cadre d'un habitat lacustre.


Ci-contre  : Pirogue exposée au Musée Carnavalet.

On retrouva ainsi : des arcs, des outils de silex et des vases décorés datant entre 4500-4200 ans av. J-C. Des pirogues, des haches de silex et des statuettes féminines de moins 4200 à moins 3400 av. J-C. et mis à jour de 1991 à 1996 sous les anciens entrepôts de vin de la capitale dit de Bercy. Ces vestiges ont été les témoins d'une occupation au néolithique confirmée. Vers, ou à partir de 4300 av. J-C., s'édifiaient des palissades, ou fossés et talus, ce furent les enceintes qui protégeaient les premières habitations d'une population rurale.

De la traditionnelle chasse et cueillette, nos parents lointains devenaient agriculteurs et villageois, ceci allait contribuer à une forte accentuation des naissances. La sédentarisation a été facteur de changements conséquents et l'on peut parler d'un début de la civilisation humaine, qui transforma une bonne part de l'ordre de son organisation sociale et économique et mettait à distance leurs parents chasseurs-cueilleurs. Ce type de connaissances se réfère à des systèmes dits parentaux et concerne des enjeux anthropologiques.

Des questions propres ou relatives aux relations et fonctions parentales, et de la place des femmes dans cette  architecture du quotidien, a semble-t-il favorisé une structuration
nouvelle des relations entre les humains, une révolution plus déterminante que celle du l'usage des métaux. De quoi s'interroger sur les rapports entre les hommes et les femmes dans le fonctionnement des pouvoirs, et à savoir qui en était le détenteur? Il en est de même dans la répartition des tâches et réalités sexuées, qui selon l'âge étaient relatives à un mode initiatique avant  l'accouplement et la reproduction.

L'idée de la fertilité pour évidence, du féminin comme représentation religieuse et divine, a eu possiblement des fondements matrilinéaires et sur une très longue période de l'Histoire des homo-sapiens, d'ici ou d'ailleurs.
Ces derniers n'eurent que pour frontières les limites naturelles, et de leur capacité à les franchir, en l'établissement d'un mode collectif aura été une phase déterminante de l'expansion de l'Homme, et des raisons de sa survie ou de son actuelle existence.

Archives INA - Journal de France 3 - région Ile de France
 
La présence humaine à Paris se concentra possiblement qu'à partir du Cinquième millénaire av. J-C. Ce qui a pu déterminer l'installation des premiers hommes a été la présence d'un fleuve comme la Seine (Sequana en latin) et ses ressources naturelles. La Seine forma avec ses affluents l'Aube, l'Yonne, et surtout la Marne et l'Oise, un grand réseau hydrographique. Les cours d'eaux offrirent aux premiers habitants de se déplacer sur un large espace navigable.

Dans la capitale en 1991, des fouilles ressortaient 5 pirogues datées entre moins 4200 et  moins 3400 av. J-C, les suivantes cinq autres embarcations présumaient des premières circulations fluviales à la hauteur de Bercy. Il s'agissait de plus d'une dizaine de pirogues ayant été découvertes dans le bassin Parisien, et ne provenait pas de ce seul site de recherche. Toutefois ces fouilles ont participé de la rédaction de ce présent travail et a permis la mise en lumière des premiers âges du bassin Parisien.



Les Pirogues de Bercy


Photo de l'Inrap de Carlos Valero

« Dans le cadre de l’aménagement de la zone d’aménagement de Bercy, soit 55.000 m2, la couverture alluviale a été entièrement dégagée sur 13 mètres d’épaisseur pour atteindre la couche de calcaire. Ces vastes fouilles méthodiques ont mis à jour le tracé d’un ancien bras de la Seine et sur la rive de ce bras ce sont les traces de la vie de tout un village qui ont été découvertes.

Les trous des poteaux ont permis de reconstituer toutes les constructions en bois du village, avec ses traces d’artisanat, d’alimentation, d’outillage, de domestication, de chasse et de pêche. Ces fouilles ont permis de mettre en lumière tous les détails de cette vie humaine déjà remarquablement organisée dans ce village au bord du fleuve, il y a plus de six millénaires.

La découverte la plus extraordinaire fut celle de dix pirogues en chêne. Ces pirogues dites monoxyles étaient creusées dans un seul tronc d’arbre par le feu et avec une hache ou herminette en silex taillé. Gorgés d’eau, ces fragiles témoins d’une activité fluviale déjà intense ont été conservés et restaurés pendant 3 ou 4 années au laboratoire spécialisé Art Nucléart de Grenoble. Elles sont maintenant exposées, avec de nombreux objets dont des céramiques miraculeusement intactes au Musée Carnavalet.

Voici donc, dûment établies, les premières preuves de la navigation sur la Seine il y a plus de 6000 ans. Les archéologues pensent que ce village de Bercy n’était pas le seul sur les bords du fleuve. D’autres vestiges de la même époque ont été découverts, par exemple, sur les bords de la Marne. (…)

Comment ces premiers mariniers de la Seine utilisaient-ils leurs pirogues?

On a d’abord pu reconstituer, à partir des traces de nombreux pieux ou piquets, les passerelles et les pontons rudimentaires où les pirogues ont dû être amarrées. Ces pirogues devaient servir pour des échanges à moyenne ou longue distance : par exemple, un type de silex exploité pour fabriquer des haches provenait de Jablines, dans la vallée de la Marne, à quelques dizaines de kilomètres en amont.

D’autres haches trouvées sur le site furent taillées dans une roche dure provenant des Alpes, à plusieurs centaines de kilomètres de Bercy. Il est prouvé que sur l’ensemble du terroir qui deviendra le Paris historique, la pirogue devait constituer le moyen de déplacement le plus utilisé, notamment vers des zones agricoles situées en aval. Ceci malgré des contraintes importantes qui gênaient la navigation : régime capricieux du fleuve, méandres.

Quelle était la place de la pêche dans l’utilisation de ces pirogues ?


Ces populations néolithiques vivaient essentiellement de l’agriculture et de l’élevage. Les restes de poissons n’étaient pas nombreux, ils ont sans doute disparus. Mais des hameçons en os, des flotteurs en écorce, des restes de filets prouvent que ces premiers habitants de Bercy maîtrisaient déjà parfaitement les techniques de pêche.

Les pirogues exceptionnellement bien conservées sont exposées au Musée Carnavalet. Toutes ces pirogues en chêne sont donc monoxyles, (c’est-à-dire creusées dans un seul tronc). L’étude des techniques de fabrication a montré que les hommes du Néolithique maîtrisaient parfaitement l’évidage par le feu (depuis 6.500 ans). Les différents outils utilisés, en silex taillé, du type de l’herminette permettaient de façonner le fond et les flancs avec beaucoup de précision.

Quelles sont les dimensions de ces pirogues ?

La pirogue nel, brisée à ses deux extrémités était conservée sur 3,40 m de long et 80 cm de large. Le carbone 14 a permis de la dater entre 4 445 et 4 269 avant J.C.

La pirogue n°2. réparée par deux renforts, était conservée sur 4,05 m de long, 85 cm de large. Elle a été datée de 2300 à 2139 avant J.C., c’est-à-dire à la fin du Néolithique.

La pirogue n°6 est la plus complète. Longueur conservée 5,80 m, largeur 95 cm, épaisseur moyenne 3 cm.

Les fouilles du site de Bercy ont donc montré de façon spectaculaire qu’il est encore possible de dévoiler des pans entiers de l’histoire très ancienne de la navigation sur la Seine. Elles nous donnent un aperçu saisissant des résultats possibles si l’on pouvait exploiter sur plusieurs hectares d’autres sites du Bassin Parisien.


Source : Extrait des Nouvelles de Triel et de ses deux rives, n°49, année 2005


Archives INA - Journal de France 3 - région Ile de France


 
Au milieu de la Seine se trouve de nos jours la majestueuse île de la Cité. Cet espace a constitué dès l'origine le premier mythe parisien, celui de l'île de la Dame Blanche ou sorcellerie et magie se mélangeaient. Rituel quasi ignoré depuis, mais perpétué par les druides celto-gaulois, il y a au moins trois mille ans. Bercy est probablement le premier lieu d'implantation durable et à proximité de la route de l'étain, avant que n'advienne une île fortifiée sous les Parisii entre 800 et 300 ans avant J.C.. Soit le début de l'Antiquité dans l'hexagone, c'est à dire en terres gauloises.
 
Les rituels, le rôle des druides dans la transmission, trouvaient avec l'île de La Dame Blanche une illustration des premières croyances, et aussi les dangers de la nature. Pour traverser une rivière, il fallait pour cela un rite magique et la personne instruite des affaires religieuses conduisait les processions. On retrouvera peu de Mégalithes, seulement trois en rive nord à Paris. Ils conserveront jusqu'au Moyen Âge des sources de croyances populaires héritiers de ces premiers débuts de civilisation ou de culture humaine.

Un mot, un peu ambivalent dans ses définitions ou peu usité exprime bien cette conservation de rites ancestraux : Le syncrétisme. C'est-à-dire la fusion de différents cultes ou de doctrines religieuses, ou sinon la tentative de conciliation des différentes croyances en une nouvelle qui en ferait la synthèse. (Source dico du CNRS)

De la préhistoire aux débuts de la civilisation chrétienne, on peut constater que chaque culture est à la fois perméable ou bien amenée à disparaître ou s'adapter, et les humains allaient conserver des pratiques magiques ou cultuelles héritées des premiers âges sur de très longues périodes.

Ci-contre : les fouilles du Carrousel (années 1980)

 

 
 La route de l'étain, une première voie commerciale



À la fin de l'âge du bronze s'annonça des mouvements, des migrations, des modes nomades, ou des transhumances, et les premiers échanges marchands.

La route de l'étain passait par la rive droite de la capitale par une ancienne voie dit de Saint-Denis, celle-ci n'a eu aucun rapport avec le tracé moderne de la rue et du faubourg du même nom. Une voie mentionnée dans les plans de Paris d'avant 1789.

Cette circulation permettait de prendre en compte des questions topologiques et l'activité du fleuve. La Seine a connu de nombreuses inondations, notamment sur la rive nord parisienne. Ceci fit appel pour cette ancienne route à un terrain résistant aux aléas des crues.

 

Avant toute chose, il fallait associer pour obtenir du bronze, du cuivre et de l'étain, deux métaux n'ayant pas de mines communes et les lieux d'extractions pouvaient se trouver sur des très longues distances.
Sachant que la marche était le véhicule premier et les animaux utiles pour transporter ou acheminer ce qui devait être des ressources à forte valeur (la domestication des animaux fit aussi partie du processus global). Et pour autre possibilité le transport fluvial et maritime,
du moins ce circuit  existait  ou était envisageable pour rejoindre la Grande-Bretagne depuis l'Italie jusqu'en Sicile, et via la route de l'étain, qui passait par le bassin parisien ou la vallée de la Seine.

Voire l'utilisation des deux formes de transports et différents lieux ou routes d'échanges pouvaient exister pareillement depuis l'Europe orientale, à l'état de chemins, traverses, ou canaux navigables arpentant ou dessinant le continent. Deux métaux en un seul, le bronze s'associa au pouvoir ou à la richesse, par l'apparition de rivalités et la constitution de petites entités tribales et concurrentes ou adverses. Il est plus que probable que l'étain ne fut pas la seule ressource d'échange ou commerciale, la laine, les peaux, avec les troupeaux ovins par exemple, tout comme les premières monnaies en bronze ont été aussi facteur à échanger.

En toute hypothèse, le point de passage de la route de l'étain se faisait par le sud-est de la capitale. Elle commençait à la hauteur de la ville de Charenton et rejoignait Bercy par la rive droite.
Par le boulevard Diderot, puis vers la place de la Nation en remontant au plus près des collines. L'on évitait ainsi de patauger et permettait surtout de trouver une terre ferme pour pouvoir circuler. Son tracé finissait dans la plaine du "Lendit", de nos jours la Plaine Saint-Denis.

 
Il exista ce que l'on nomma au début de l'ère chrétienne le bras mort, courbe ou la Vieille Seine. "La Tutela" délimitait une défense naturelle que constituait cet ancien bras du fleuve en arc et avec ses espaces marécageux ou boisés. L'on retrouve dans les plans de Messieurs Turgot et Delagrive, géographes du dix-huitième siècle une ancienne rue "dit du Chemin Saint-Denis". Soit possiblement l'ancien tracé de cette voie sur la rive droite. Correspondant peu ou prou à l'axe de la ligne de métro entre Nation et Chapelle et qui serait l'ancienne route de l'étain par Paris.
 

 Du temps où Paris était une bourgade

Nos ancêtres "lacustres" du bassin parisien sont donc peu à peu passés de la structure familiale, à la structure villageoise.

Sur un mode plus ou moins consensuel, les plus "habiles" venus du Sud, puis d'Europe orientale allaient structurer cette société en un pouvoir plus défensif. Pour eux-mêmes en la recherche d'une terre où se poser ou à conquérir.

Ci-contre : fouilles du Carrousel

Il faut attendre l'Antiquité pour que l'île de la Cité retienne l'attention des populations locales, pour que n'advienne des fondations solides et une fortification du lieu. Pour que les Celtes des plaines de l'Est ne viennent troubler cet équilibre naturel et engagent les habitants à se prémunir d'attaques éventuelles. Ils participèrent aux débuts du monde urbain sous l'angle d'un camp retranché, qui offrait une nouvelle assurance de développement, de même imposait une riposte combattante.

Une organisation nouvelle de la société qui fit appel à la militarisation et à un armement parfois lourd. Il fallait aussi la désignation d'un chef, puis la création évidente d'un groupe à l'autre de rivalités avec une grande soumission à la force et à la volonté de porter querelle à ses voisins. Il en fut surtout d'un nombre plus important d'individus, et "d'étranges étrangers" qui prirent le dessus des populations premières.
 
"Les populations nomades" siècle après siècle ont transité de l'Anatolie en Turquie vers l'Europe. C'est pourquoi il importe de considérer cette nomadisation, plus en des flux migratoires et de la nécessité de pouvoir alimenter, loger des populations de plus en plus nombreuses. Et peut-on mieux faire qu'un bassin si ouvert à la vie? Toutes ces plus ou moins longues migrations ont été le fruit né de l'espoir d'un climat plus agréable. Ni trop chaud, ni trop froid, pour nomades et sédentaires, c'est un peu de cela l'histoire de la civilisation humaine.

Ce qui s'y dessina est de l'ordre du parent, du moins à l'analyse d'un Caïn guerrier et expansif et d'un Abel berger et défricheur?
 Exit, si l'on peut dire du paradis terrestre, des origines possiblement pacifiques. Sauf, qu'il faudrait examiner si la violence a toujours été inhérente à toute les sociétés humaines? ce qui est sûr le mode sédentaire l'a favorisé. Rien n'atteste que la sédentarisation ait été le facteur d'un meilleur sans son lots de conséquences négatives : la transmission des germes ou les agents microbiens, le recyclement des déchets, le déboisement, etc., sont à prendre en compte. 

Pourquoi notre monde s'est construit ainsi, en quoi ce bassin Parisien si riche et clément, symbole évident d'un bassin féminin allait en son sein accueillir de nombreuses civilisations, comme des sédiments, les résidus de nos origines humaines? Nous ne pouvons le comprendre qu'au gré des découvertes archéologiques, elles dépendent pour beaucoup à Paris et ailleurs des chantiers, et aussi des découvertes futures. Les sous-sols nous ont-ils tout dit, cette question reste ouverte? La découverte des métaux allait provoquer l'expansion de certaines populations.

Nous citerons les Ligures dans la deuxième étape de notre Histoire urbaine de Paris avec ses légendes ou ses mythes, les Liguriens ont été les premiers à sillonner ces lieux pour des affaires marchandes et industrieuses ; sachant qu'ils s'étendirent de la Provence au nord de l'Angleterre, un peu avant que les Celtes du bassin du Danube et des Balkans ne viennent fonder les futurs "Gaulois".
 
Suite de la promenade :
Les Ligures et Celtes en Europe
 
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