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Sommmaire de la page :
1 - Article : La fin de la grève de la faim de la "Chepa"
2 - Article, Pétition pour
la libération des prisonniers politique, par
France Amérique Latine
3 -
Article, Communiqué du
Collectif de soutien au peuple Mapuche
4- Article, Déclaration de
la Chepa à son 100ème jour de
grève de la faim
5 -
Vidéo, Bande annonce du documentaire Newen Mapuche, Elena Varela, 2 minutes en VO (2008)
6-
Article, Peuple
Mapuche et la commission des droits de l’Homme du chili,
par Claudia Urquieta Cavaría
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Soutien au peuple Mapuche
Archives
des
articles de 2008
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Vous pouvez consulter des articles complémentaires plus récents
sur les Mapuche et le Chili (70 articles jusqu'en 2013) : Cliquez ici !
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FIN DE LA GRÈVE
DE LA FAIM
DE LA «CHEPA»
LA RÉSISTANCE CONTINUE :
le 31 janvier 2008
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Patricia
Troncoso, prisonnière politique mapuche vient de cesser la plus
longue grève de la faim dans l'histoire du Chili. 112 jours sans
se nourrir. Trois autres de ses codétenus politiques mapuche
l'ont accompagnée dans cette grève pendant plus de deux
mois et deux autres l'ont rejoint solidairement.
Elle continue de revendiquer avec les autres prisonniers :
• La libération immédiate de tous les prisonniers politiques mapuche et la révision de leurs procès.
• La
démilitarisation du territoire mapuche, la fin de la
répression des communautés en conflit et le respect de
leurs droits territoriaux.
L'État chilien reste
toujours sourd à leurs revendications. C'est l'Eglise catholique
chilienne qui est intervenue en tant que médiateur pour
négocier la fin de sa grève en échange d'un
aménagement minimum des conditions de détention pour elle
et deux de ses codétenus.
Le 3 janvier, à l'aube,
lors d'une récupération pacifique de terres, Matias
Catrileo Quezada, étudiant mapuche de 22 ans, a
été abattu d'une balle dans le dos par la police
militaire. Pour mémoire, le 7 novembre 2002, Alex Lemun, 17 ans,
a été atteint mortellement par le tir d'un officier de
police, lors d'une occupation de terres. Dans la nuit du 21 août
2006, José Domingo Collihuin Catril, âgé de 71 ans
a été tué dans sa propre communauté pendant
une perquisition policière. Ces crimes contre les Mapuche ne
doivent pas rester impunis. Des arrestations de militants mapuche et
non mapuche se sont multipliées dans les nombreuses
manifestations de protestation qui se sont déroulées ces
dernières semaines sur tout le territoire chilien.
Avec
le Collectif de soutien au peuple mapuche réunissant
AlterKonexions, Association Apatapela (Marseille), Asso. Intifrance
(Toulouse), Association Kakiñe, association La Aldea,
Association Pueblo, Association RELMU – Paris, Colectivo Viento
Sur, Comité de Solidarité avec les Indiens des
Amériques - Nitassinan, Comité de Solidarité aux
Peuples du Chiapas en Lutte, Icra International, La Cucaracha Festival,
Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples,
Organisation internationale de défense des droits et
intérêts Imazighen, Réseau d'Information et
de Soutien au Peuple Mapuche
- nous demandons la mise en place
immédiate d'une commission composée de membres de la
société civile pour enquêter sur la mort de Matias
Catrileo et sur les violences commises en territoire mapuche. Nous
demandons instamment à l'Etat chilien que le meurtrier de Matias
Catrileo soit jugé par un tribunal civil, et non militaire
-
nous demandons que l'Etat chilien abroge la loi anti-terroriste
appliquée aux luttes sociales et territoriales, qu'il respecte
la Déclaration des Droits des Peuples indigènes
adoptée le 13 septembre 2007 par l'Assemblée
Générale des Nations Unies et ratifie dans sa
totalité la Convention 169 de l'Organisation Internationale du
Travail.
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«Non à la
répression
du peuple Mapuche
au
Chili!»
Association FAL, le 28 janvier 2008 |
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«Libération des prisonniers politiques !»
France
Amérique Latine (FAL) tient à dénoncer
une nouvelle fois l'inacceptable répression d'Etat qui
continue d'affecter le mouvement indigène Mapuche.
Dernière victime de la « démocratie
» chilienne, le jeune Matías Catrileo Quezada.
Agé de 22 ans, il a été abattu par une
rafale de mitraillette tirée dans le dos par des
carabiniers, le Jeudi 3 janvier, à une vingtaine de
kilomètres de la ville de Temuko (sud du Chili). Ces
militants mapuche avaient occupé pacifiquement un champ
appartenant à Jorge Luchsinger, grand
propriétaire terrien qui garde en sa possession des terres
revendiquées de longue date par les paysans Mapuche. Cet
assassinat rappelle celui de Alex Lemun, jeune mapuche de 17 ans,
abattu en 2003, acte commis en toute impunité.
Le
gouvernement de Michelle Bachelet, malgré les
recommandations du rapporteur de l'ONU et de nombreuses
dénonciations internationales, continue de
considérer les militants Mapuche comme des «
terroristes » et, plus généralement,
à criminaliser toutes les luttes qui s'opposent au
modèle néolibéral (en utilisant un
arsenal juridique hérité de la dictature de
Pinochet). Cette spirale répressive intervient alors que
Patricia Troncoso, prisonnière politique Mapuche, en est
à plus de 100 jours de grève de la faim et que
son état de santé est jugé
extrêmement préoccupant. Patricia est actuellement
mise au secret, alimentée de force par ses
geôliers et retenue dans des conditions sanitaires
désastreuses, mettant en danger sa vie.
Aux
côtés d'autres associations de
solidarité internationale européennes,
étasuniennes et latino-américaines :
- Nous appelons le
gouvernement chilien à cesser immédiatement cette
politique répressive inacceptable, à
libérer les prisonniers politiques, à
établir au plus vite des négociations
réelles avec les Mapuche mobilisés et
à reconnaître le droit inaliénable
à l'autodétermination du Peuple Mapuche
- Nous demandons à
la Commission européenne et aux gouvernements de l'Union
européenne, premier partenaire commercial du Chili,
d'interpeller immédiatement le gouvernement Bachelet sur
cette violation des droits Humains et des Peuples indigènes.
- Nous appelons
également l'ensemble des citoyens français et
européens à manifester leur appui aux prisonniers
politiques mapuche et à dénoncer publiquement
cette politique d'Etat raciste et répressive (notamment en
signant cette pétition qui sera transmis à
l’ambassade chilienne en France). Janvier 2008
Source : Association
France Amérique Latine
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COMMUNIQUÉ
DU COLLECTIF
DE SOUTIEN AU PEUPLE MAPUCHE
illustration de Mapuche.org
Paris,
le 22 janvier 2008
Depuis
la fin de la dictature dirigée par le
Général
Pinochet, la situation des peuples autochtones au Chili n’a
pas
changé. Malgré l'élection
d’une
présidente sous étiquette socialiste,
malgré la
Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples
Autochtones, les militants mapuche qui luttent pour se voir
reconnaître leur droit à leurs territoires, sont
poursuivis et jugés en vertu de lois antiterroristes datant
de
l’époque de la dictature, et subissent une
persécution militaire d’un autre âge.
Dans
ce contexte et pour ces raisons, depuis plus de 100 jours, Patricia
Troncoso Robles (lire après le communiqué),
prisonnière politique mapuche, poursuit la plus longue
grève de la faim du Chili. Elle est au seuil de la mort.
Quatre
autres codétenus politiques mapuche l’ont
accompagnée pendant plus de deux mois dans cette
grève et
deux autres l’ont rejointe solidairement.
Au
prix de sa
vie, elle revendique, avec les autres prisonniers, la
libération
immédiate de tous les prisonniers politiques mapuche, la
démilitarisation du territoire mapuche, la fin de la
répression des communautés en conflit et le
respect de
leurs droits territoriaux, revendications auxquelles notre Collectif
adhère pleinement.
Dans ce contexte
très
répressif et injuste, l’Etat chilien continue
l’occupation militaire des territoires mapuche et multiplie
dans
les communautés de brutales perquisitions
accompagnées
d’humiliations racistes.
Jeudi
3 janvier, Matias Catrileo, jeune étudiant mapuche
âgé de 22 ans, a été
tué d’une
balle dans le dos par la police militaire, lors d’un acte de
récupération de terres. Nous demandons la mise en
place
immédiate d’une commission composée de
membres de
la société civile, pour enquêter sur sa
mort, de
même que nous demandons que son meurtrier soit
jugé par un
tribunal civil et non par un tribunal militaire.
Pour
mémoire, le 7 novembre 2002, un jeune mapuche de 17 ans,
Alex
Lemun, a été atteint mortellement par le tir
d’un
officier de police, lors d’une occupation de terres. Son
meurtrier a été acquitté par un
tribunal militaire
et est monté en grade peu après. Dans la nuit du
21
août 2006, José Domingo Collihuin Catril,
âgé
de 71 ans, a été tué dans sa propre
communauté pendant une perquisition policière.
L’enquête est toujours en instruction.
Nous
demandons la suppression de la loi antiterroriste promulguée
pendant la dictature et appliquée, ces vingt
dernières
années, exclusivement aux luttes sociales et territoriales.
Nous
demandons à l’Etat chilien d’appliquer
enfin la
Déclaration des Droits des Peuples Indigènes,
adoptée le 13/09/2007 par l’Assemblée
Générale des Nations Unies, et de ratifier dans
son
intégralité la Convention 169 de
l’Organisation
Internationale du Travail.
Collectif de Soutien au Peuple
Mapuche :
AlterKonexions, Association Apatapela (Marseille), Association
Kakiñe, Association La Aldea, Association Pueblo,
Association
RELMU – Paris, Association Terre et Liberté pour
Arauco,
Collectif Caracol (Marseille), Comité de
Solidarité avec
les Indiens des Amériques - Nitassinan, Icra International,
La
Cucaracha Festival, Mouvement contre le Racisme et pour
l’Amitié entre les Peuples, Réseau
d’Information et de Soutien au Peuple Mapuche, ...
`
Déclaration de la
Chepa (*)
à son
100ème jour de grève de la faim
« A mon peuple mapuche
aimé et à tous les peuples exploités
et opprimés »
«
Je suis ici et continue de me battre contre l’état
oppresseur… tout
comme vous. Chaque jour et chaque nuit, non avec ma force si non
qu’avec la force et le courage que vous me donnez.
Chers
frères de quoi nous accusent-ils ?
De
quoi sommes nous coupables ?
Nous avons seulement
cherché à obtenir justice, une justice que
l’envahisseur nous a toujours nié.
De
quoi nous accusent-ils donc ?
De
ne pas céder face à leur arrogance qui
aujourd´hui, une fois encore,
nous frappe, nous assassine, et nous incarcère. Aucun
d’entre nous n’a
perdu la mémoire. Chacun d’entre nous a
résisté, tout au long des
années, à l’exploitation et aux
expulsions.
Chacun
d’entre nous continu d’écouter au fond
de lui, la voix de son grand
père, de sa grand-mère, qui nous ont
conté comment se sont passés les
saccages.
Chacun
d’entre nous, a, aujourd’hui un motif pour
continuer à lutter et pour
résister, avec le courage des vieux combattants, avec leur
loyauté,
leur vaillance, et aussi, leur sagesse.
Chacun
d’entre nous est responsable, responsable de la
défense de tous ceux
qui généreusement luttent pour appuyer le peuple
mapuche, les
communautés et le peuple pauvre et exploité.
Amis, continuons
d’avancer, plus unis que jamais pour défendre nos
droits à la terre et
la liberté.
Courage
mes frères, courage mes soeurs.
Où
il y a des coligues, des coligues naîtront, si un tombe, dix
se lèveront….. »
AMULEPE
TAIÑ WEICHAN MARRICHIWEU
(*) Patricia Troncoso,
hôpital de Chillan.
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NEWEM MAPUCHE (l'homme de la terre)
Bande-annonce de Newem Mapuche un documentaire d'Elena Varla (2008) durée 2 minutes
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Peuple
Mapuche
et la commission
des droits
de
l’Homme du chili
par Claudia
Urquieta Cavaría
le 18 janvier 2008
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«
On vit, ici, dans les mêmes conditions que vivait le chili
durant
les années de dictature, nous sommes face à une
situation
terrifiante” a déclaré la
commission des droits de l’homme du chili.
Après
quatre jours dans le sud du pays et visitant des communautés
mapuches de la région d’Ercilla et Vilcun, une
délégation spéciale
composée de membres de
l’assemblée des droits de l’homme du
chili a
émis des conclusions qui ne sont guère
réjouissantes.
Perquisitions
illégales, tortures,
montages et encerclements policiers, surveillance permanente,
téléphones sur écoute, et
harcèlements
constants sont les pratiques qu’avaient
dénoncé les
mapuches de la zone et qu’ont pu constater, in situ, les
membres
de la comisión.
Lorena Pizarro,
présidente de
l’association des familles de détenus disparus, a
déclare « c’est horrifiés et
terrorisés que nous avons pu observer que l’on
vit, ici,
dans les mêmes conditions que vivait le chili durant les
années de dictature, nous sommes face à une
situation
terrifiante”
La dirigeante a
expliqué que parmi les
pratiques les plus habituelles, on dénombre les
perquisitions et
détentions injustifiées, elle a ajouté
“dans
les zones où vivent les communautés la situation
est
aberrante, on y voit d’immenses poteaux avec des cameras
plantés au milieu des champs et qui surveillent, des
antennes
qui permettent d’intercepter les
téléphones et les
moyens de communication”
Pizarro a
déclaré :
« c’était tellement impressionnant quand
j’écoutais les frères mapuches, je me
souvenais de
tous les témoignages que nous devions donner vers
l’extérieur, durant les années de
dictature,
essayant d’expliquer et sentant que nous étions
toujours
désemparés pour faire comprendre une telle
brutalité »
Le groupe
d’observateurs est
composé par des membres de l’association des
familles de
détenus disparus, de l’association des familles
d’exécutés politiques, de
l’association ONG
Action, de l’association nationale d’ex prisonniers
politiques, de la commission éthique contre la torture et de
l’avocat des droits de l’homme Hugo
Gutiérrez.
Le commando Trizano
réapparaît
Et
pour rendre la situation encore plus tendue, au conflit actuel,
aujourd’hui s’ajoute le retour sur la
scène publique
du commando Trizano, groupe para militaire de la région de
l’Araucanie, qui samedi dernier, a
déclaré au
journal « Austral de Temuco », sa
réactivation
officielle, pour contrecarrer le conflit mapuche.
Ce
groupe a
surgit dans les années 2000, durant le conflit entre les
agriculteurs, les entreprises forestières, les centrales
hydroélectriques et les mapuches. « Trizano nous
rappel la
CNI ou la DINA. Des commandos civils qui se déplacent en
toute
impunité, qui tirent en l’air, ne tuent pas, mais
laissent
derrière eux des blessés, et frappent»
a
déclaré Pizarro.
«
Bien que l’on ne
sache pas qui ils sont et qui les dirigent, une analyse logique nous
permet d’affirmer que se sont les entreprises
forestières
et les latifundistes » a conclut Lorena Pizarro.
Face
à tout ce que la commission a vu, Pizarro a
déclaré “ c’est la lutte du
peuple mapuche
que nous appuyons et à laquelle nous nous joignons, mais ce
sont
eux qui déterminent ce qu’il faut faire. Ce que
nous
allons faire, maintenant, c’est dénoncer la
permanente
violation des droits de l’homme de la part de
l’état
chilien et nous exigerons que se termine la militarisation de la zone
»
Patricia
Troncoso, surprise de l’équipe médicale
nommée par le gouvernement
Face
à la situation de Patricia Troncoso, en grève de
la faim
depuis plus de trois mois, Luis Ravanal, médecin qui fait
partie
de l’équipe médicale qui a
examiné la
militante mapuche entre les 12 et 13 janvier, a exprimé sa
très grande surprise quant au transfert de Patricia vers
l’hôpital de Chillan, mardi dernier.
Selon
lui, on
pouvait supposer que les recommandations de
l’équipe
médicale, nommée par le gouvernement, seraient
respectées, et ces recommandations indiquaient le transfert
de
Patricia, dans un premier temps à Temuco, puis à
Santiago. « Mais c’est par voix de presse que nous
avons
découvert qu’elle a été
transférée à Temuco dans un
hôpital qui
présente les mêmes caractéristiques que
celui de
Temuco, c’est à dire un hôpital qui ne
garantie
aucune de nos recommandations médicales, comme de lui porter
la
plus grande attention en ce qui concerne le diagnostic, et
qu’elle soit évaluée par des
professionnels de
très haut niveau académique et sous control
permanent”
Face à cette situation, il a
ajouté,
« qu’il n’a reçu aucune
explication et que, y
compris le directeur de l’hôpital de Temuco a
été aussi surpris que lui par la
décision, qui
selon lui n’a aucun caractère médical,
mais qui
émanait obligatoirement des autorités politiques
»
Après
les examens pratiqués sur Troncoso, les conclusions sont
très compliquées, elle est maintenant en danger
de mort,
suite à sa grève de la faim. Le diagnostic
signale :
“ De plus, en cette période la prolongation de ces
conditions signifie inéluctablement un progressif et plus
grand
risque de mort, risque qui deviendra très critique une fois
épuisées les réserves en calories et
protéines”. « Sont prévues
des lésions
irréversibles, résultats des
décompressions
cardiovasculaires, neurologiques, rénales, et de nature
infectieuse, pour toutes ces raisons il est impossible
d’estimer
avec certitude le temps nécessaire pour que la patiente
entre en
état critique avec un risque mortel imminent »
Face
à cette situation, Ravanal en a appelé
« à
l’humanité de ceux qui ont entre leurs mains le
pouvoir de
freiner cette grève de la faim ».
Demandes adressée au
gouvernement
Pour
sa part, Margarita Cayupi, dirigeante du bureau des affaires
indigènes de la Granja, a déclaré que
la situation
de la militante mapuche “ est due à
l’obstination de
l’état, raison pour laquelle nous sommes
solidaires de
Patricia et de ses revendications, nous exigeons une amnistie
présidentielle pour ce qui concerne les prisonniers
politiques
mapuches”. Elle a de plus précisé,
« nous
exigeons l’approbation de l’accord 169 de
l’OIT, sans
déclaration intempestive, ni réserve, de telle
manière que puisse s’établir au chili
un seuil
minimum pour les droits des peuples originaires” (allusion au
vote du sénat qui approuve l’accord de
l’OIT mais en
introduisant de nombreuses réserves et le rappel que tous
les
habitants du Chili sont Chiliens NDT). Margarita Cayupi a
terminé sa déclaration en indiquant «
nous exigeons
l’adoption immédiate de moyens qui permettent de
sortir de
l’immobilisme actuel en ce qui concerne les politiques
indigènes et que soit mise en place une gestion efficiente
qui
assure la participation effective des peuples concernés par
les
dites politiques ».
Sources : El Gong et Claudia - Urquieta
Cavaría, journal El Mostrador
URL :
http://www.mapuches.org/info/actuelle_index.html
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